Proposer Avosmac en version PDF non cryptée (seul le disque virtuel qui contenait le fichier était crypté) présentait un très grand risque de piratage. Nous en assumions les conséquences dans les limites du raisonnable. Elles viennent d’être allègrement franchies par la mise à disposition gratuite et à notre insu, du magazine Avosmac en PDF sur des sites internet.
Plusieurs parmi les lecteurs et abonnés d’Avosmac, n’ont pas joué le jeu. Ils n’ont pas compris que pirater Avosmac ne conduirait qu’à une réaction de notre part visant à limiter l’accès à ces fichiers.
Du coup, tous les abonnés au format PDF en subissent les conséquences.
Ces passionnés de lecture partagée se reconnaîtront évidemment et nous mettons tout en œuvre pour les localiser afin de leur demander de cesser cette diffusion sans notre autorisation. L’un d’eux, contacté par nos soins, n’a pas donné suite à nos demandes de cesser cette diffusion pirate. Après constat d’huissier, une plainte a été déposée à son encontre. Il en sera très prochainement avisé mais c’est déjà trop tard pour lui, la procédure suit son cours.
Avosmac sera donc désormais proposé d’abord en PDF crypté avec l’impossibilité d’imprimer ou de copier une page avant d’évoluer peut-être vers la technologie Flash d’Adobe. De nouvelles formules d’abonnement vont permettre de palier les restrictions en proposant le CD annuel aux abonnés aux PDF à un tarif préférentiel, autour de 10 €.
Nous ne doutons pas que ces nouvelles dispositions ne seront pas accueillies avec joie. Mais la pérennité d’Avosmac passe par la reconnaissance du travail accompli. Avec une quantité de pub plus que limitée, il va de soi que le magazine ne vit que par l’achat, pas par le piratage.
Au passage, nous lançons une offre d’emploi à chacun des pirates. Nous leur proposons un poste en CDI à la rédaction du magazine Avosmac. Nous serions heureux de pouvoir les employer, sans les payer, cela s’entend, puisque la valeur des choses semble totalement leur échapper.